CHANT D’ACCUEIL : CHANGEZ VOS CŒURS 

REFRAIN :  Changez vos cœurs, croyez à la Bonne Nouvelle

   Changez de vie, croyez que Dieu vous aime !

1 – Je ne viens pas pour condamner le monde :

Je viens pour que le monde soit sauvé.

2 – Je ne viens pas pour les bien-portants ni pour les justes :

je viens pour les malades, les pécheurs.

3 – Je ne viens pas pour juger les personnes :

je viens pour leur donner la vie de Dieu

4 – Je suis le Bon Pasteur, dit Jésus,

je cherche la brebis égarée.

5 – Je suis la Porte, dit Jésus :

Qui entrera par Moi sera sauvé.

6 – Qui croit en moi a la vie éternelle,

Croyez en mes paroles, et vous vivrez !

INTRODUCTION

La Terre comme « maison commune »(Laudato Si)

Le Pape François nous invite à « l’habiter  » afin que chaque créature, humaine et non humaine puisse s’y sentir chez elle…

Dans la dernière encyclique Fratelli Tutti, le Pape insiste sur la relation ; La Relation c’est la qualité des échanges vécus à l’intérieur de la maison ; La Relation c’est cette fraternité, qui fait d’elle une « Maison Habitée » ; La Relation c’est ce qui donne de la valeur à notre vie et à notre Terre ; et enfin La Relation c’est ce sont les liens qui nous soutiennent plutôt que les biens que nous détenons.

« Le Malin nous pousse à regarder notre fragilité avec un jugement négatif. Au contraire, l’Esprit la met en lumière avec tendresse. La tendresse est la meilleure manière de toucher ce qui est fragile en nous. Le fait de montrer du doigt et le jugement que nous utilisons à l’encontre des autres sont souvent un signe de l’incapacité à accueillir en nous notre propre faiblesse, notre propre fragilité. Seule la tendresse nous sauvera de l’œuvre de l’Accusateur (cf. Ap 12, 10). C’est pourquoi il est important de rencontrer la Miséricorde de Dieu, notamment dans le Sacrement de la Réconciliation, en faisant une expérience de vérité et de tendresse. Paradoxalement, le Malin aussi peut nous dire la vérité. Mais s’il le fait, c’est pour nous condamner. Nous savons cependant que la Vérité qui vient de Dieu ne nous condamne pas, mais qu’elle nous accueille, nous embrasse, nous soutient, nous pardonne. La Vérité se présente toujours à nous comme le Père miséricordieux de la parabole (cf. Lc 15, 11-32) : elle vient à notre rencontre, nous redonne la dignité, nous remet debout, fait la fête pour nous parce que « mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé » (v. 24). » Lettre apostolique Patris corde pape François

PARDON, POUR NE PAS AVOIR FAIT ATTENTION À MON CORPS

Je ne l’ai pas fait assez bouger, j’ai laissé la fatigue prendre le dessus sans réagir, sans faire attention à mon sommeil, en privilégiant le fauteuil. Je l’ai trop nourri ou mal. J’ai laissé certaines addictions prendre le dessus. J’ai multiplié les excuses pour ne pas lui laisser une place respectable. J’ai négligé de le protéger avec suffisamment de soin.

Je n’en ai pas fait assez un instrument de communication pour mes attentions aux autres, pour que mes contacts expriment autant que possible mes sentiments, mon affection, mes besoins de partage, en me repliant sur des activités égoïstes.

J’ai privilégié son aspect extérieur au point de négliger son développement harmonieux, sans reconnaître en lui un moyen privilégié de partage et d’échanges, en faisant comme si mon enrichissement intellectuel et spirituel n’avait pas besoin de lui pour se réaliser.

Je ne l’ai pas assez associé à ma prière en oubliant que Dieu a pris corps en son Fils pour nous rejoindre et qu’il a voulu nous donner son corps.

Dieu, aide-moi à écouter l’Esprit Saint qui a fait sa demeure en mon corps.

Silence

Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts donnera aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous. Ro :8,10-11.

Silence

 Ne le savez-vous pas ? Votre corps est le temple de l’Esprit Saint qui est en vous et que vous avez reçu de Dieu ; vous ne vous appartenez plus à vous-mêmes, car le Seigneur a payé le prix de votre rachat. Rendez gloire à Dieu dans votre corps. 1Cor : 6, 19-20.

L’un de vous peut demander : « Comment les morts ressuscitent-ils ? avec quelle sorte de corps reviennent-ils ? »  Réfléchis donc ! Quand tu sèmes une graine, elle ne peut pas donner vie sans mourir d’abord ; et tu ne sèmes pas le corps de la plante qui va pousser, tu sèmes une graine toute nue : du blé ou autre chose. Et Dieu lui donne un corps comme il le veut : à chaque semence un corps particulier. Les espèces de chair sont différentes : il y a celle des hommes, celle des bestiaux, celle des oiseaux, celle des poissons. Il y a des corps célestes et des corps terrestres, mais autre est l’éclat des célestes, autre celui des terrestres ; il y a l’éclat du soleil, celui de la lune, celui des étoiles ; et les étoiles ont les unes et les autres un éclat différent. Il en sera de même quand les morts ressusciteront. Ce qui est semé dans la terre est périssable, ce qui ressuscite est impérissable ; ce qui est semé n’a plus de valeur, ce qui ressuscite est plein de gloire ; ce qui est semé est faible, ce qui ressuscite est puissant ; ce qui est semé est un corps humain, ce qui ressuscite est un corps spirituel ; puisqu’il existe un corps humain, il existe aussi un corps spirituel. 1Cor : 15,35-44

Partout et toujours, nous subissons dans notre corps la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus, elle aussi, soit manifestée dans notre corps. En effet, nous, les vivants, nous sommes continuellement livrés à la mort à cause de Jésus, afin que la vie de Jésus, elle aussi, soit manifestée dans notre existence mortelle. Ainsi la mort fait son œuvre en nous, et la vie en vous. 2Cor : 4,10-12

PARDON, POUR NE PAS AVOIR RESPECTÉ TA CRÉATION

 Je n’ai pas pris le temps de m’arrêter pour contempler le monde en te remerciant pour ses beautés, toi le Créateur. Dire merci pour le soleil, la pluie et la froidure, la douceur des soirées et le calme de la nature, admirer la beauté d’une fleur, le spectacle d’un animal que l’on croise. Pardon de m’être senti étranger à ce monde d’avoir prétendu lui être supérieur ou simplement à mon service, de l’avoir utilisé sans reconnaître que j’en faisais partie et que c’est de lui que me vient la vie, ta vie Seigneur. C’est en lui que tu as laissé les traces de ton passage.

Je lui ai manqué de respect par mon gaspillage, en le souillant de mes déchets, en prenant pour excuse ma petitesse pour ne pas faire pour elle les quelques gestes qui sont à mon niveau.

Dieu, aide- moi à prendre soin des merveilles que tu m’offres chaque jour.

Silence

PSAUME DE LA CRÉATION 

REFRAIN : Mon Dieu, tu es grand, tu es beau
Dieu vivant, Dieu très-haut
Tu es le Dieu d’amour
Mon Dieu, tu es grand, tu es beau
Dieu vivant, Dieu très-haut
Dieu présent en toute création

1-Par les cieux devant toi, splendeur et majesté
Par l’infiniment grand, l’infiniment petit
Et par le firmament, ton manteau étoilé
Et par frère soleil, je veux crier

2-Par tous les océans et par toutes les mers
Par tous les continents et par l’eau des rivières
Par le feu qui te dit comme un buisson ardent
Et par l’aile du vent, je veux crier

3-Par toutes les montagnes et toutes les vallées
Par l’ombre des forêts et par les fleurs des champs
Par les bourgeons des arbres et l’herbe des praires
Par le blé en épis, je veux crier

4-Par tous les animaux de la terre et de l’eau
Par le chant des oiseaux, par le chant de la vie
Par l’homme que tu fis juste moins grand que toi
Et par tous ses enfants, je veux crier

5-Par cette main tendue qui invite à la danse
Par ce baiser jailli d’un élan d’espérance
Par ce regard d’amour qui révèle et réchauffe
Par le pain et le vin, je veux crier

PARDON, POUR NOS FAUTES DANS NOS RELATIONS

Ces mains tendues que l’on ne prend plus, ce baiser que l’on ne peut plus donner, ces regards que nous détournons par peur du contact, ces repas qui sont à éviter… Seigneur nous avons du mal à maintenir nos contacts. Dans cette période difficile une angoisse sourde nous gagne régulièrement. Confinés, inquiets nos relations s’en trouvent perturbées. Nous sommes facilement à cran, soupçonneux devant les attitudes de ceux que nous croisons, interprétant en mauvaise part ce que nous entendons, prompts à critiquer. Nous aurions bien besoin pourtant de marques d’amour, de douceur, de mansuétude, de bienveillance, de gestes de solidarité tant nous sommes dans le même bateau.

Seigneur apprends-nous la douceur.

Il est un peu trop facile de nous trouver des excuses en invoquant les difficultés actuelles, trop facile de nous laisser aller en cherchant des justifications.

Nous disons facilement dans le Notre Père : « Remets-nous nos dettes comme nous-mêmes les remettons à ceux qui en ont envers nous » Cependant, nous avons souvent l’impression que les gens de notre entourage ne nous rendent pas assez, dans les mêmes proportions ce que nous leur donnons. Ils seraient en dette envers nous au point que nous sommes tentés de prendre de la distance envers eux, de nous refuser au partage et de nous refermer sur notre dignité offensée par tant d’ingratitude.

Nous en sommes convaincus : le véritable amour est gratuit et ne réclame pas de réciprocité systématique. En renonçant à réclamer ce que nous estimerions être notre dû nous accédons à une plus grande paix, nos relations peuvent se détendre, il se pourrait même que nous finissions par recevoir plus que ce que nous espérions. Personne ne nous doit rien, pas même Dieu, l’amour ne se marchande pas, il se donne.

Dieu, apprends-nous la gratuité à l’image de ton amour.

Silence

Notre Père qui es aux cieux…

PARDON, POUR NOS MANQUES D’AMBITION

Nous ne manquons pas d’ambition quand il s’agit d’avoir toujours plus, de gagner davantage, de nous imposer face aux autres… Nous nous fatiguons bien plus vite quand il s’agit d’introduire des changements dans nos vies. Certes, il nous est impossible de nous transformer en un éclair, nous pouvons par contre, avec un peu de constance, progresser régulièrement mais cela demande de la persévérance. Nous ne croyons pas assez en nous ou, plus sûrement, nous reculons devant les efforts qu’il faudrait faire pour entreprendre des progrès réels. Nous sommes pris dans des bouffées d’enthousiasme qui nous font croire un moment que nous pouvons devenir meilleur et puis nous retombons dans la morosité.

La route est longue, difficile à emprunter sur le long terme, pleine de rebondissements où alternent les avancées, les reculs et surtout les longues périodes de stagnation où l’avenir semble bouché. Saint Paul pourtant nous invite à croire en nous : l’espace ouvert devant nous est infini.

Dieu, aide-nous à terminer ce que nous avons entrepris.

Silence

Ainsi, il ne faut pas mettre son orgueil en des hommes dont on se réclame. Car tout vous appartient, Paul et Apollos et Pierre, le monde et la vie et la mort, le présent et l’avenir : tout est à vous, mais vous, vous êtes au Christ, et le Christ est à Dieu. 1Cor : 3, 21-23

EN TOUTE VIE LE SILENCE DIT DIEU 

(La Tour du Pin)

En toute vie le silence dit Dieu,
Tout ce qui est tressaille d’être à lui !
Soyez la voix du silence en travail,
Couvez la vie, c’est elle qui loue Dieu !

Pas un seul mot, et pourtant c’est son Nom
Que tout sécrète et presse de chanter ;
N’avez-vous pas un monde immense en vous ?
Soyez son cri et vous aurez tout dit.

Il suffit d’être et vous vous entendrez
Rendre la grâce d’être et de bénir ;
Vous serez pris dans l’hymne d’univers,
Vous avez tout en vous pour adorer.

Car vous avez l’hiver et le printemps,
Vous êtes l’arbre en sommeil et en fleurs ;
Jouez pour Dieu des branches et du vent,
Jouez pour Dieu des racines cachées.

Arbres humains, jouez de vos oiseaux,
Jouez pour lui des étoiles du ciel
Qui sans parole expriment sa clarté ;
Jouez aussi des anges qui voient Dieu

PARDON, POUR NOS MANQUES DE FOI DANS L’ÉGLISE

Il nous arrive de manquer de confiance, de penser que l’Église est en plein déclin, que nous chrétiens allons disparaître parce que notre temps est fini. Nous sommes prompts à critiquer les chrétiens qui ne croient pas comme nous, les prêtres, les évêques, le pape même. Nous faisons comme si nous n’étions pas l’Église, comme si elle n’était pas notre mère, comme si nous n’étions pas en partie responsables de ses difficultés et du fait qu’elle soit rejetée par beaucoup.

Comment pouvons-nous prétendre être des témoins vivants, fiers de leur foi, heureux de ce que nous vivons en Église, préoccupés de partager la bonne nouvelle de Jésus-Christ sans aller vers nos prochains ?

Au lieu de nous crisper sur ses défauts, comment sommes-nous attentifs à ce qui est beau dans notre Église non par un optimisme béat mais pour y détecter les germes de vie, ce qui grandit, afin de nous y investir ? Des gens autour de nous sont avides de découvrir ses richesses, ils attendent que nous leur parlions, que nous les invitions… Sortons de nos pratiques étriquées, osons rejoindre les attentes de nos frères, aidons-les à découvrir les ouvertures immenses de l’Église qui pourraient faire éclater nos étroitesses humaines.

L’Esprit qui fait vivre l’Église est la seule voie qui nous est offerte pour aller jusqu’au Père, par Jésus.

Dieu, aide-nous à être tes disciples missionnaires.

Silence                                      

CETTE ÉGLISE APPELÉE NOTRE MÈRE  

(Bernard/Michel Wackenheim/ADF-Musique)

REFRAIN : CETTE ÉGLISE APPELÉE NOTRE MÈRE,
DANS L’ESPRIT NOUS L’AIMONS DE TOUT COEUR.
QU’ELLE VIVE À LA GLOIRE DU PÈRE,
SUR LES PAS DE JÉSUS LE SAUVEUR !

1-Une Église avec la joie du vivre ensemble
Une Église où tout croyant peut respirer,
Osant dire ce qu’il aime et ce qu’il pense,
Une Église au fort accent de liberté !

2-Une Église où le silence est une écoute,
Une Église où l’Évangile ouvre un chemin
Quand le ciel est aussi noir que notre doute,
Une Église qui pardonne et qui soutient.

3-Une Église pour les humbles de la terre,
Une Église où tout un peuple se comprend :
Il partage le festin de la sagesse ;
Une Église où Dieu se livre au cœur aimant.

4-Une Église où l’Esprit Saint redonne souffle,
Une Église ouverte au vent de l’imprévu
Dans un monde où les humains sont mis en route,
Une Église qui conduit vers l’Inconnu.

5-Une Église traversée par des audaces,
Une Église à la jeunesse relancée
Qui s’arrache à l’habitude et ses impasses,
Une Église où la Nouvelle est annoncée.

6-Une Église avec nos mots pour la prière,
Une Église toute en chair d’humanité,
Jésus Christ vient l’habiter de sa lumière,
Une Église longue histoire des sauvés.

7-Une Église où Dieu révèle son mystère,
Une Église avec l’amour manifesté,
Que l’on dise : « enfin voyez combien ils s’aiment ! »,
Une Église pour la vie du monde entier.

8-Une Église avec Marie montrant la route,
Une Église où la Parole est engendrée.
Notre Mère sait combien la foi déroute,
Quelles nuits Dieu nous appelle à traverser.

PARDON, POUR LES OUBLIÉS, CEUX QUE NOUS IGNORONS, CEUX QUE NOUS NE VOYONS PAS

 Depuis le tram, en nous promenant dans les bois, au bord du Lac on voit des tentes plantées dans des terrains vagues, de tristes cabanes. Des gens sont obligés de squatter parce qu’ils n’ont pas de quoi se loger. On en trouve encore dans des coins de rue. Merci à ceux qui participent à des maraudes, qui s’engagent dans des distributions de nourriture ou de vêtements ; qui partagent un moment avec les déshérités pour un café, une démarche, une écoute ; qui, avec des associations, sont à la recherche de logements, de travail, de papiers…

Pardon parce que nous nous détournons, nous abandonnons l’idée que nous pourrions intervenir, nous baissons les bras avant même d’essayer, nous libérons notre conscience avec une pièce.

Dieu aide-nous à ne pas désespérer, à trouver des moyens à notre portée pour faire diminuer la misère dans le monde, et d’abord autour de nous. Donne-nous la force de nous engager avec ceux qui luttent pour un monde meilleur.

Silence

Ouvre mes yeux, Seigneur
Aux merveilles de ton amour
Je suis l’aveugle sur le chemin
Guéris-moi, je veux te voir

Ouvre mes mains, Seigneur
Qui se ferment pour tout garder
Le pauvre a faim devant ma maison
Apprends-moi à partager

Fais que je marche, Seigneur
Aussi dur que soit le chemin
Je veux te suivre jusqu’à la croix
Viens me prendre par la main

Fais que j’entende, Seigneur
Tous mes frères qui crient vers moi
À leurs souffrances et à leurs appels
Que mon cœur ne soit pas sourd

Garde ma foi, Seigneur
Tant de voix proclament ta mort
Quand vient le soir et le poids du jour
Ô Seigneur reste avec moi

JE CONFESSE  …

Prions : Père saint, nous t’en prions, envoie ton Esprit Saint sur ton peuple ici rassemblé qui demande ton pardon. Il reconnaît qu’il s’est souvent éloigné de toi et il a besoin de la force de cet Esprit pour se reconstruire et pour marcher d’un pas plus assuré sur les routes que Jésus Christ nous a ouvertes. Renouvelés par ton Esprit nous pourrons accueillir ton pardon d’un cœur sincère et demeurer fidèles à ta Parole.

Absolution

Que Dieu, notre Père, vous montre sa miséricorde ;

Par la mort et la résurrection de son Fils

Il a réconcilié le monde avec Lui

Et il a envoyé l’Esprit Saint pour la rémission des péchés :

Par le ministère de l’Église,

Qu’il vous donne le pardon et la paix.

Et moi, au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit,

Je vous pardonne tous vos péchés.

METS TA JOIE DANS LE SEIGNEUR

Mets ta joie dans le Seigneur,
Compte sur Lui et tu verras,
Il agira et t’accordera,
Plus que les désirs de ton cœur. (bis)

1 – Remets ta vie, dans les mains du Seigneur
Compte sur lui il agira.
Grâce à son amour, ta foi apparaîtra
Comme un soleil en plein jour.

2 – Reste en silence devant le Seigneur
Oui, attends le avec patience
Grâce à son amour, ton pas est assuré,
Et ton chemin lui plaît.

3 – Dieu connaît les jours de tous les hommes droits,
Il leur promet la vraie vie.
Grâce à son amour, ils observent sa voie,
Ils mettent leur espoir en lui.